Cendrillon
Après Ariane et Orphée (deux poids lourds s'il en est), voici une troisième interprétation d'une figure légendaire : Cendrillon...
Et la robe bleue, et le soulier de verre, et la citrouille, et le prince charmant... où ils sont, hein ?, où ils sont ? En fait, j'ai pioché cette histoire dans cette belle collection lancée par l'éditeur Syros autour des contes et de leurs différentes versions dans le monde entier, le tome sur Cendrillon étant bien joliment illustré par Peggy Niles.
Cette Cendrillon-là est donc russe. La petite chèvre noire qu'elle étreint est, dans le conte, sa mère.
Ses vêtements, ses chaussures et sa couronne apparaissent magiquement aux branches d'un bouleau. C'est une bien belle histoire. Dans le même tome, je déconseille toutefois aux âmes sensibles la lecture de la version tibétaine du conte, version La colline a des yeux.
Le prochain dessin de cette série sera consacré à la Belle Dame sans mercy.
lundi 31 mars 2008
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