jeudi 15 mai 2008

Enfin...

j'ai enfin eu mon second livre entre les mains... Je laisse le soin à mes petites fées de montrer les pages qu'elles préfèrent.,

A. aime la page des éventails,
avec la cape de Zorro, un paon, une jupe,
un livre, un accordéon, une Andalouse...


É. aime la page rouge,
avec un évèque, un poisson, une pastèque,
des coquelicots... et surtout... surtout,
des amoureux...


( Et puis, j'écoute cette reprise de Palace Brothers, et je pense à un ami...

9 commentaires:

Christelle Lardenois a dit…

il faut absolument que je le trouve... surtout pour la page rouge avec la papa Noël et les amoureux - tu penses! Clémentine va adorer - tu disais à la fnac?? faut que je note...
BRAVO!!!

Anonyme a dit…

Bravo encore :)
Et bravo aussi pour tes 2 jolies petites filles !
Je n'ai pas encore eu le temps d'aller à la fnac, mais je ne manquerais pas d'aller les voir :)

Diana Amaral a dit…

Congratulations!! The book is great!!

I loved your blogue!

Nicolas Gouny a dit…

Telle : Merci (et pis il y a plein d'autres choses, des petits détails, des trucs rigolos, de petites histoires :))

Az : et dis-moi ce que tu en penses :)

Diana : thank you !!

Anonyme a dit…

ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie ça fait envie :)

Nicolas Gouny a dit…

Raaaaaah la lolotte me spamme (bientôt chez toi ;))

Angie a dit…

I can't read french, but congrats on the book - that's amazing! :)

Anonyme a dit…

mes deux grands parents ont bossé dans des abattoirs, ils apportaient la viande aux bouchers...
c'est comme ça que j'ai su que les vieilles vaches laitières qu'on amène à l'abattoir pour mettre fin à leurs glorieux jours sont appelées les lolottes...
penses-y la prochaine fois... :D :D :D

Nicolas Gouny a dit…

haba ma louloute, tu t'y entends pour déprimer les pauvres illustrateurs déjà tout déprimés...