Je ne veux pas écrire des bétises...mais enfin j'ai du comprendre le fond de ces tableaux. C'est un fond trés trist et je regrette bien que c'est un fond réel. Mais alors derriére la porte c'est le Papa n'est-ce pas? Tu as transmit trés sensiblement ces sentiments sur la toile! Je t'embrasse; Ojni
Merci Élé... c'est un dessin très personnel, et cela me touche qu'il te parle. Merci encore.
Merci Ojni... Heureusement, il y a encore un papa, derrière une autre porte, mais seules les mamans savent comment chasser les monstres. Enfin je crois.
Moi aussi il me parle évidemment ! Et, il est très beau... Ça fait bien longtemps que j'ai compris que ce petit garçon seul au milieu de ces monstres est mon grand frère ! Onze ans qu'une maman n'est plus là pour chasser les monstres, et onze ans que le cœur est lourd... Comment soignons-nous nos blessures ?
Nicolas Gouny Titulaire du DESS Édition de Villetaneuse, après avoir passé dix ans dans l’édition pédagogique publique, je me suis, depuis quelques années, installé dans un petit hameau de la Creuse perché sur le haut d'une vallée, au milieu des prairies et des arbres, pour me livrer à plein temps à l’illustration pour la jeunesse et à l'éthologie de la girafe.
10 commentaires:
Je suis désolée Nicolas... tu as réussi à illustrer cela avec beaucoup de pudeur et de talent.
Merci Sabbio, je t'embrasse
Oh c'est triste...
Mais tellement beau. Oui vraiment, c'est un dessin magnifique et très émouvant... la première fois qu'un dessin m'émeut autant.
Je ne veux pas écrire des bétises...mais enfin j'ai du comprendre le fond de ces tableaux. C'est un fond trés trist et je regrette bien que c'est un fond réel. Mais alors derriére la porte c'est le Papa n'est-ce pas?
Tu as transmit trés sensiblement ces sentiments sur la toile!
Je t'embrasse;
Ojni
Merci Élé... c'est un dessin très personnel, et cela me touche qu'il te parle. Merci encore.
Merci Ojni... Heureusement, il y a encore un papa, derrière une autre porte, mais seules les mamans savent comment chasser les monstres. Enfin je crois.
Moi aussi il me parle évidemment ! Et, il est très beau... Ça fait bien longtemps que j'ai compris que ce petit garçon seul au milieu de ces monstres est mon grand frère !
Onze ans qu'une maman n'est plus là pour chasser les monstres, et onze ans que le cœur est lourd...
Comment soignons-nous nos blessures ?
Bisous...
oh... que c'est triste... il avait déjà une petite bouille à donner envie de le reconforter ton petit pierrot mais là...pff
Carole, je ne pense pas qu'on ls soigne, on apprend à vivre avec. Je t'embrasse très fort.
J'ai toujours pensé être un illustrateur mélancolique, Charlotte. Merci !
Je l'avais vue sur DA, sans en connaître l'histoire (en retard dans mon bloglines !). Ton visuel et tes mots sont très touchants. Des bisous pour toi.
Merci Az, je t'embrasse.
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