C'est un nouveau crépuscule, ou peut-être une aube, où le monstre aux oiseaux et la sorcière et ses chats conversent.
Et c'est inspiré d'un poème saturnien, d'un poème de Paul Verlaine.
“Et dans la splendeur triste d'une lune
Se levant blafarde et solennelle, une
Nuit mélancolique et lourde d'été,
Pleine de silence et d'obscurité,
Berce sur l'azur qu'un vent doux effleure
L'arbre qui frissonne et l'oiseau qui pleure.”
Et c'est une solitaire, une belle endormie.
Et puis, n'ayez pas peur du monstre, voici l'image toute entière.
mardi 3 avril 2012
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3 commentaires:
Ouahh! Trop beau!
Ben oui, c'est tout ce que j'ai trouvé à dire.
Je sens que je ne vais pas être originale, mais quelle... poésie, ces illustrations !
Quelle atmosphère... une de celles chères à Verlaine... je suis touchée au coeur ! Bravo !
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